Résultats de recherche pour le tag "Âme" - 25 réponse(s)
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Dans les chapitres 4 et 5 de la nouvelle édition de La Voie de la Perfection, Bahram Elahi présente un modèle de l’âme humaine ou de ce qu’il appelle également notre moi réel, modèle dont il avait déjà donné un aperçu sur ce site. L’âme, à l’instar du corps, y est présentée à travers des schémas de type anatomique, comme un véritable organisme : un organisme psychospirituel dont il s’agit, pour ceux qui aspirent à perfectionner leur humanité, de connaître et de contrôler les différentes puissances.
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Logés dans le cocon de notre ego, nous sommes semblables à des vers à soie. Bahram Elahi développe les implications à la fois métaphysiques et éthiques de cette image frappante. Il montre, schémas à l’appui, que la réalité du « moi » est constituée d’une pluralité de fonctions et de niveaux de conscience en interaction dynamique, dont témoigne la polarité qui oppose le « moi conscient de surface » et le « moi conscient profond » (ou « guide intérieur »). Quelques idées-clés pour briser le cocon…
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Quelques heures avant son exécution, Socrate confiait à l’un de ses disciples qu’il n’y a rien à craindre dans la mort pour l’ami du savoir. Car s’il est vrai que le corps n’est pour l’âme qu’un tombeau, une forme d’inconscience dont la mort nous délivre, qu’y a-t-il à craindre pour celui qui a consacré sa vie à rechercher la vérité et la justice ?
Cette croyance en une survie de l’âme après la mort est sans aucun doute l’un des traits caractéristiques de la plupart des spiritualités. La mort y est perçue comme la séparation de l’âme de son enveloppe terrestre, elle est un passage et non une fin. Mais vers quel autre monde ce passage nous mène-t-il ?
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 Les discours spirituels en vogue mettent volontiers en avant la nécessité d’un développement complet et harmonieux de la personne humaine, intégrant toutes les dimensions de l’existence. Mais dans l’esprit de la plupart de nos contemporains, l’idée de vie spirituelle demeure associée aux contraintes d’une discipline religieuse, et donc aussi aux notions de renoncement et de privation, sinon de souffrance. On se dit que la vie spirituelle ne peut être que réservée à une élite, à une humanité hors du commun, capable d’endurer les rigueurs de l’ascèse, à l’image des moines ou des fakirs. Cette vision des choses doit beaucoup à une certaine interprétation du mysticisme : la spiritualité, en tournant l’homme vers l’esprit, le détournerait nécessairement du corps ; pire même, elle verrait dans le corps un ennemi, un élément étranger dont il conviendrait de se défaire pour que l’âme puisse atteindre la connaissance. Toute une tradition néoplatonicienne, plus ou moins bien comprise, semble enseigner ce déni du corps. On comprend que, les mentalités évoluant, cette conception de la vie spirituelle ait suscité une sorte de réaction allergique. Est-il étonnant, dès lors, que nous soyons si peu enclins aujourd’hui à nous soucier de notre âme, en dehors du cadre restreint offert par le cabinet du psy ?
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 Nous vivons dans notre ego…enfin, vous, je ne sais pas, mais moi, cela est certain. C’est ce qui m’est apparu après avoir écouté, puis réfléchi à la distinction faite ici entre moi conscient de surface et moi conscient profond. Le moi conscient de surface, c’est mon moi envahissant, mon moi à la recherche de la reconnaissance des autres, ce moi qui veut qu’on m’aime, qu’on m’admire, qui veut tout pour moi et rien que pour moi, qui se vexe à la première occasion, qui monte sur ses grands chevaux à la moindre critique, qui se voit au centre du monde avec tous les autres à la périphérie, qui pense avoir mieux compris que les autres, qui redoute d’être relégué à la seconde place et voit d’un mauvais œil la réussite de son rival, qui se repait des compliments et s’en souvient avec délectation, qui imagine qu’on lui doit attention, considération, écoute… Ce moi, c’est mon moi spontané, automate qui, poussé par une force instinctive, me porte naturellement à tout ramener à moi, à tout comparer à moi et à ne tenir compte des autres que pour autant qu’ils me sont utiles à moi et à l’image que je souhaite afficher. Ce moi que je suis 99,9999% du temps n’est pas mauvais en soi : il s’inquiète aussi de ma conservation, de mon bien-être et de ma progression dans le monde. Sans lui, il me serait difficile de m’occuper de mes enfants, de m’engager dans la société et de m’y rendre utile. Il le devient pourtant quand il cherche à satisfaire son désir d’expansion au détriment d’autrui et que ses désirs et ses préoccupations envahissent ma pensée au point de me faire oublier les besoins et les aspirations de mon Moi avec un grand M, dont Bahram Elahi dit là qu’il est notre vrai Moi.
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James Morris est professeur de théologie à Boston College. Ce spécialiste de la philosophie islamique de réputation internationale est notamment l’auteur d’études sur les textes métaphysiques d’Ibn’Arabi et de Mollâ Sadrâ. Parmi ses publications récentes, on compte une traduction et une édition critique du livre d’Ostad Elahi, Connaissance de l’âme (Knowing the Spirit, SUNY, 2007).
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Que nous apprennent les expériences de mort imminente (Near-Death Experiences) ? Pour le docteur Pim van Lommel, docteur en cardiologie et auteur de Consciousness Beyond Life (
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Ostad Elahi définissait son enseignement comme une nouvelle médecine de l’âme : une médecine adaptée à la nature réelle de l’homme, conforme à la causalité qui règle sa vie spirituelle comme sa vie matérielle. La spiritualité qu’il pratiquait était la spiritualité naturelle ; il concevait le perfectionnement spirituel à l’image d’un cycle d’études. Dans une […]
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Au commencement, une âme céleste traverse un ciel telle une étoile filante.
Elle vient d’un autre monde.
Unique.
Un monde qu’elle connaît bien, puisqu’elle est entièrement faite de ce monde.
Son royaume et elle décidèrent de se séparer.
Accord et Dissonance, Plénitude et Insuffisance, Choix et Nécessité.
Sous le signe d’une très haute justice animée d’une extrême bienveillance, son monde d’origine lui indique un lieu qui sera sa matrice et un corps qui sera son enveloppe.
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Ostad Elahi, Connaissance de l’âme, Paris, Harmattan, coll. « L’ouverture philosophique », 2001. Paru en 1969, Connaissance de l’âme (Marefat ol-ruh) se présente comme un opuscule philosophique. Sous une forme discursive, suivant un style et un mode de conceptualisation caractéristique d’une tradition métaphysique qu’il connaît bien et qui relie les néo-platoniciens à Avicenne et à […]
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Qu’est-ce qui en moi dit ‘je’ ? Quelle est la nature de ma conscience, de mon ‘âme’ ?… Cette conférence est remise en une du site à l’occasion du nouveau quiz qui l’accompagne et permet de tester ses connaissances.
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La Prière est… Une clef qui ouvre le monde de l’Esprit. Une main invisible qui se tend et nous emmène vers un refuge. Un univers pur, ouvert et infini, dans lequel on entend et on dit les vérités. Un espace de confidences, à l’intérieur duquel l’âme nous parle, écoute et où le jugement sommeille.
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« La mort vous effraie-t-elle ? Vous demandez-vous ce qui vous arrivera après l’instant fatidique ? Croyez-vous réellement que votre âme retournera d’où elle vient après la mort ou pensez-vous cela uniquement parce que vous avez peur ? Les humains sont les seules créatures terrestres à avoir conscience de la mort, et c’est un véritable paradoxe qu’ils doivent […]
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Pour ceux qui s’intéressent au spirituel, la question de l’existence de l’âme et de sa survie après la mort physique est importante. Quel est le rapport entre la conscience et le corps ? Est-ce que l’expression de cette conscience repose entièrement sur le corps ? Ces questions m’ont beaucoup préoccupé à l’époque où j’achevais mes études. C’est […]
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L’idée que l’on peut se transformer pour devenir meilleur est probablement la définition première de la spiritualité. Elle porte en germe l’intuition d’un bonheur supérieur qui coïnciderait avec un état de perfection morale, de sagesse, d’humanité parfaite.
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[Cet article fait partie d’une série de 7 articles sur La pensée d’Ostad Elahi]
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[Cet article fait partie d’une série de 7 articles sur La pensée d’Ostad Elahi]
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[Cet article fait partie d’une série de 7 articles sur La pensée d’Ostad Elahi]
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Connaissance de l’âme, Ostad Elahi, coll. « L’ouverture philosophique », L’Harmattan, 2001. 4e de couverture Philosophe et théologien, Ostad Elahi (Nûr Ali : 1895-1974) fut conduit, à travers un parcours hors du commun qui le mena de la vie mystique à la carrière de magistrat, à élaborer une doctrine spirituelle dont les fondements sont exposés […]
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Nous sommes des êtres bidimensionnels, composés de la part terrestre (ou âme terrestre, le ça avec son prolongement en soi impérieux) et de la part céleste qu’on appelle aussi âme céleste. Il ne s’agit pas ici de distinguer entre l’âme et le corps, mais de mettre en évidence la bipolarité liée à l’existence de deux parts – terrestre et céleste – au sein même de notre âme.
Tant que nous vivons sur terre, l’âme céleste et l’âme terrestre qui ont fusionné forment une entité unique et constituent ensemble notre psychisme.
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En bref : le surça est l’instance de notre psyché qui est le réservoir de nos pulsions spirituelles. C’est la quatrième instance décrite par B. Elahi pour expliquer le fonctionnement de notre psyché, et notamment sa double aspiration : – la première tendance nous oriente vers les besoins et les objectifs matériels de l’existence, ceux liés à […]
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En bref : toute créature est créée dans le but d’atteindre un état de plénitude complète, la perfection. Le chemin pour y arriver, c’est le perfectionnement, qui donne sens à l’éthique et au spirituel dans notre vie. La perfection concerne tous les êtres, sans exception. Ostad Elahi répartit ces derniers en plusieurs classes : le minéral […]
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On doit le terme à Freud, qui y voit une instance en grande partie inconsciente, se constituant au contact de l’autorité parentale, et représentant l’intériorisation des normes et des règles de conduite éthique, sociale et culturelle. Il est à l’origine du sentiment de culpabilité. De façon schématique, un conflit intérieur naît de la rencontre entre le surmoi et certaines pulsions du ça qui vont à l’encontre des règles et des interdits liés à notre éducation. Ce conflit se joue dans le moi, siège de la raison, qui tient le rôle d’arbitre. Lorsque la pulsion, toujours inconsciente, est incompatible avec les exigences du surmoi, le conflit se règle par la « capitulation » de la pulsion qui est alors « refoulée » dans l’inconscient. Le terme de « répression » correspond au même mécanisme lorsque celui-ci est conscient.
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La spiritualité a pour but le perfectionnement de l’âme. Mais que signifie pour l’âme de se perfectionner ? D’un point de vue éthique, c’est transformer sa substance de manière à développer en soi toutes les vertus humaines. Une telle transformation ne va pas de soi. Elle suppose qu’on ait développé au préalable une idée juste de ce que sont les vertus et des moyens de les faire rayonner en soi.
Les vertus sont des dispositions ou qualités morales (par opposition aux défauts) qui portent l’homme vers le bien. Mais cette définition, qui ne fait que remplacer le mot « vertu » par celui de « qualité », ne nous dit pas encore ce que sont concrètement les vertus. Pour cela, il nous faut saisir à quoi elles correspondent « organiquement » dans la structure même de l’âme. C’est en ces termes que B. Elahi envisage la question dans Médecine de l’âme.
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Dans cette introduction à Connaissance de l’âme, Clara Deville présente une courte biographie d’Ostad Elahi en insistant sur son parcours et sa formation intellectuelle qui sont indissociables de ses expériences spirituelles. Puis elle resitue cet ouvrage à caractère théologico-philosophique dans l’ensemble de l’oeuvre d’Ostad Elahi en en montrant la profonde cohérence, cohérence qui est à […]
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