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Dans la suite des articles tirés du Cantique des Oiseaux de Attar, dont nous avions précédemment évoqué « Le rossignol et la rose : de l’attachement au renoncement », ainsi que « Notre ennemi intérieur : le soi impérieux »- examinons maintenant une facette de ce dernier qui guette tout chercheur spirituel : l’orgueil en spiritualité. Attar l’évoque sous la forme d’une anecdote truculente.
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Nous poursuivons notre série d’articles sur le Cantique des Oiseaux de Attar qui fait partie des écrits spirituels riches d’enseignements utiles à une démarche spirituelle. Pour plus d’information sur l’oeuvre et son auteur vous pouvez vous reporter au premier article de la série « Le rossignol et la rose : de l’attachement au renoncement ».
Nous nous intéressons cette fois-ci à notre pire ennemi et qui fait partie de nous-même : le soi impérieux.
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Nous avons été très nombreux à participer à l’activité de réflexion faisant suite à l’article « Le rossignol et la rose : de l’attachement au renoncement » et donc, à nous interroger sur comment transposer dans notre vie les conseils de la huppe au rossignol épris de la rose. Quelles sont donc ces roses – ou attachements – qui par trop nous occupent l’esprit, ou bien encombrent notre vie au point de nous faire négliger l’essentiel ?
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Dans une démarche de recherche spirituelle, se plonger dans les œuvres des grands hommes divins est l’un moyen de se connecter à Dieu et de profiter des leçons spirituelles qui y sont décrites. À ce sujet, Ostad Elahi précise que les prodiges ou miracles que les hommes divins ont pu faire en leur temps ne nous sont aujourd’hui d’aucune utilité. Leurs œuvres cependant « nous guident sur le droit chemin et ne vieillissent jamais ». Parmi ces œuvres, il évoque notamment Le Cantique des oiseaux du poète Attar, et ses « milliers de points utiles pour nous ».
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Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse »… Telle est, dans sa formulation négative, la « règle d’or » qui est au fondement de la plupart des grandes doctrines morales. Hadj Nemat, le père d’Ostad Elahi, lui consacre tout un développement dans son grand œuvre en vers, le Livre des Rois du Vrai. Il montre que ce principe universel trouve sa condition et son sens dans le processus de transformation de soi par lequel chacun peut s’efforcer de rendre son être semblable à une « eau pure ». Alors « faire le bien » ne se réduit pas à éviter aux autres le mal qu’on ne voudrait pas pour soi-même ; l’altruisme véritable est une expression de l’adoration du Vrai. L’extrait qui suit a été traduit par Leili Anvar.
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Le 28 février 1920 s’éteignait Hadj Nemat, le père d’Ostad Elahi. Deux documents célèbrent ici la mémoire de ce grand spirituel qui fut aussi un poète mystique inspiré. L’hommage musical conçu par Renaud Garcia-Fons et Claire Antonini sur la base d’une composition d’Hadj Nemat (le « Monajat ») a été enregistré en public à la Maison de […]
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Le poème qui suit est un extrait du Livre des Rois de la vérité, écrit par le père d’Ostad Elahi, Hadj Nemat. Dans cet ouvrage de plus de 15000 vers composé en 1919, il relate la vie des saints, des prophètes et des grandes figures spirituelles de l’humanité. Les récits narratifs alternent avec des passages […]
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